Le 30 septembre 2008, DEXIA annonce la démission de ses deux principaux dirigeants, Pierre Richard et Axel Miller. En pleine crise économique, Philippe DURON vote une indemnité de 825 000 euros à Axel Miller !
Le 13 novembre 2008, DEXIA a déjà perdu plus de 3 MILLIARDS d’euros dans l’année et vient de passer à
deux doigts de la faillite. Cependant, Philippe DURON vote une augmentation de 30% du salaire de Pierre Mariani, Directeur de DEXIA et ancien collaborateur de Nicolas Sarkozy !
Comment a t-il pu approuver l’augmentation du salaire de l’ami
de Nicolas Sarkozy alors que la banque perdait chaque jour des
sommes astronomiques ?
En janvier 2009, de nombreux membres du Conseil d’Administration
démissionnent. Certains reconnaissant leurs erreurs et décident
de rembourser les sommes qu’ils ont empochées. Philippe
DURON, lui, garde son argent et préfère rester.
En mai 2011, l’agence de notation Standard & Poor’s annonce le
placement sous surveillance de DEXIA. Philippe DURON, conscient
de sa responsabilité dans la faillite de la banque part
le mois suivant en essayant de ne pas se faire remarquer.
De janvier à octobre 2011, DEXIA a perdu 10,4 MILLIARDS
d’euros !
En entrant à DEXIA, Philippe DURON devait aider les mairies, les
conseils généraux, les conseils régionaux et les établissements
publics à se financer. Aujourd’hui, 5 500 d’entre eux croulent sous
des emprunts toxiques !
Juillet 2013, la Cour des Comptes publie un rapport édifiant
Alors que les responsables de ce désastre financier resteront vraisemblablement impunis, la Cour des Comptes préconise pour l'avenir de « renforcer les dispositifs de sanctions pénale et pécuniaire, tant pour les dirigeants que pour les membres des conseils d'administration d'institutions financières, pour le cas de prise de risque inconsidérée ayant entraîné des pertes »